Cette page présente des rapports de recherche, des documents et des enseignements tirés de données probantes générées par la programmation de la PAF et avec le soutien de l'équipe de recherche de l'IRC et de ses partenaires universitaires à travers le monde.
Ce document synthétise les principaux résultats de cinq années d'études sur Ce qui fonctionne pour prévenir la violence à l'égard des femmes et des filles (lien en anglais). Il fournit une mise à jour pour les praticien(ne)s, les décideuses/eurs politiques et les chercheuses(eur)s sur l'état des preuves sur la violence à l'égard des femmes dans les conflits et les situations humanitaires et fait des recommandations pour la politique de lutte contre la violence à l'égard des femmes, la programmation et les priorités futures de la recherche.
Cette étude (AN), qui fait partie du programme de recherche Ce qui fonctionne pour prévenir la violence à l'égard des femmes et des filles, aborde les lacunes importantes dans la compréhension des intersections entre la violence contre les femmes et les filles et le conflit au Soudan du Sud. Le rapport souligne les obstacles à l'accès des femmes et des filles aux services de réponse à la VBG et formule des recommandations à l'intention des décideuses/eurs politiques et des praticien(ne)s dans ce pays.
CETTE ÉTUDE (AN), qui fait partie du programme de recherche Ce qui fonctionne pour prévenir la violence à l'égard des femmes et des filles, s'est employée à répondre à deux questions primordiales : comment les programmes et les politiques visant à prévenir et à répondre à la violence à l'égard des femmes et des filles ont-ils été intégrés et abordés dans le cadre des politiques et des programmes de renforcement de l'État après un conflit ; et comment la violence à l'égard des femmes et des filles est-elle liée aux efforts déployés pour parvenir à la paix et à la stabilité dans les pays touchés par un conflit.
Cette étude, qui s'inscrit dans le cadre du programme Ce qui fonctionne pour prévenir la violence à l'égard des femmes et des filles, a utilisé les directives du IASC de 2005 sur la violence à l'égard des femmes comme outil pour comprendre comment le secteur humanitaire a répondu aux besoins des femmes et des filles aux Philippines. Elle a examiné en particulier comment la prévention et l'atténuation de la VBG ont été mises en œuvre dans la phase initiale de l'intervention d'urgence.
Cette étude, qui s'inscrit dans le cadre du programme Ce qui fonctionne pour prévenir la violence à l'égard des femmes et des filles, a cherché à explorer les expériences des femmes lorsqu'un transfert d'argent inconditionnel de trois mois est accordé à un ménage dans une situation d'urgence aiguë.
Cette étude, qui s'inscrit dans le cadre du programme Ce qui fonctionne pour prévenir la violence à l'égard des femmes et des filles, présente les résultats d'une recherche qui a évalué un modèle de travailleur communautaire pour les réfugiés dans les camps de réfugiés de Dadaab au Kenya, afin de mieux comprendre sa faisabilité, son acceptabilité et son influence sur les femmes victimes de violence liée au sexe qui accèdent aux soins.
Cette étude, qui s'inscrit dans le cadre du programme de recherche Ce qui fonctionne pour prévenir la violence à l'égard des femmes et des filles, a examiné comment l'utilisation de la technologie mobile pour la fourniture de services, la diffusion d'informations, les activités d'autonomisation et la collecte de données dans les situations humanitaires peut présenter plusieurs avantages pour les femmes et les filles. Cependant, ces avantages doivent être conciliés avec deux défis majeurs : (1) les barrières uniques qui empêchent les femmes et les filles d'accéder à la technologie et de l'utiliser et (2) les risques que la technologie puisse augmenter les dommages ou la violence basée sur le genre, même si ce n'est pas de façon intentionnelle.
Girl Empower est un programme innovant conçu pour doter les filles des compétences et des expériences nécessaires pour faire des choix de vie sains et stratégiques et pour rester à l'abri de l'exploitation et des abus sexuels. Le programme Girl Empower comprend le mentorat, le renforcement des actifs (compétences de vie, éducation financière et épargne) et des groupes de discussion avec les tutrices/tuteurs. Cette évaluation randomisée visait à évaluer l'impact de Girl Empower seul et de Girl Empower couplé d'un transfert conditionnel d'argent par rapport à l'absence d'intervention sur l'exploitation sexuelle chez les filles âgées de 13 à 14 ans.
La programmation et la recherche COMPASS (Créer des opportunités grâce au mentorat, à l’implication des parents et aux espaces sûrs) ont porté sur la programmation d'espaces sûrs pour les adolescentes dans des contextes humanitaires, y compris la formation aux compétences de vie et la constitution d'actifs, les activités de mentorat et l'engagement avec les prestataires de services et les tutrices/tuteurs pour mieux donner la priorité aux besoins des adolescentes et mieux y répondre.
L'IRC a mis en œuvre le modèle Peer Outreach dans le comté de Turkana, au Kenya, afin de garantir aux travailleuses du sexe un accès sûr et confidentiel à des services complets de protection, de lutte contre le VIH et de santé reproductive. Par le biais d'une évaluation de routine, l'IRC cherche à évaluer l'acceptabilité et l'efficacité d'une programmation ciblée pour améliorer l'accès aux services de santé reproductive et VIH, la gestion des cas et l'accès au soutien psychosocial.
Cette étude évalue la prestation de services mobiles de lutte contre la VBG afin de déterminer dans quelle mesure elle permet de (1) répondre aux besoins de sécurité et de soutien des femmes et des filles réfugiées et (2) de respecter les normes internationales visant à garantir la sécurité des survivantes de VBG et la qualité des services. Les résultats de l'évaluation indiquent que la prestation de services mobiles a contribué à améliorer le bien-être des femmes et des filles réfugiées syriennes de nombreuses façons.
Cette étude explore la manière dont la résilience à la VBG est renforcée par le fait de recevoir à la fois des transferts d'argent et des services de réponse à la VBG, plutôt que de recevoir uniquement de l'argent. L'étude a montré que le fait de recevoir de l'argent et d'assister à des groupes de discussion avec des partenaires masculins peut entraîner une diminution de la violence à l'égard des femmes par leur partenaire intime.
Des lacunes subsistent dans les connaissances concernant les services et le soutien liés à la violence domestique et aux agressions sexuelles dont les femmes ont besoin et qu'elles souhaitent obtenir après leur arrivée aux États-Unis. Cette note présente les résultats d'une étude multi-méthodes qui a cherché à combler certaines de ces lacunes. Les principales conclusions permettent de formuler des recommandations à l'intention des praticien(ne)s et des agences aux États-Unis, ainsi que des décideuses/eurs politiques, des donateurs et d'autres parties prenantes.
Cette étude explore l'intégration du dépistage de la violence domestique et des agressions sexuelles dans la réinstallation des réfugiés. Elle montre que cette approche est prometteuse et communique l'idée selon laquelle l'IRC est un espace sûr où les femmes peuvent discuter de leurs expériences et de leurs préoccupations. Le rapport d'évaluation complet comprend des outils de dépistage et de réponse qui peuvent être utilisés par les organismes d'aide aux réfugiés et les organismes de lutte contre la violence domestique et les agressions sexuelles.
Les résultats de cette étude menée à Dadaab, au Kenya, indiquent que, si les mesures appropriées sont prises et que les conditions préalables sont remplies, le dépistage de la VBG par les prestataires de soins de santé peut 1) créer un environnement confidentiel où les survivant(e)s peuvent parler ouvertement de leur expérience de la VBG, 2) garantir des soins compétents et des références basées sur les besoins individuels et les souhaits des survivant(e)s, et 3) sensibiliser la communauté aux problèmes de la VBG, réduisant ainsi la stigmatisation et améliorant les attitudes.
Cette étude identifie les obstacles à l'accès, au pilotage et à l'évaluation des stratégies de promotion de l'intégration du handicap dans les programmes de lutte contre la violence basée sur le genre (VBG). Cette étude explique comment il est possible de concevoir des solutions pour promouvoir l'inclusion du handicap dans les programmes de lutte contre la VBG et présente des recommandations et des outils qui peuvent être utilisés par les praticien(ne)s travaillant dans des contextes humanitaires.
L'étude a examiné les principaux facteurs de la violence entre partenaires intimes, les conséquences de la violence, la prise de décision des femmes après une expérience de violence et les points d'entrée pour l'amélioration de la programmation. Basé sur cette recherche, ainsi que sur les recommandations des femmes, le dossier comprend également des recommandations pour les praticien(ne)s travaillant dans des contextes humanitaires.
Cette étude a évalué la faisabilité et l'acceptabilité de programmes socio-économiques visant à prévenir la VBG et à améliorer le bien-être économique des femmes ivoiriennes vivant en milieu urbain.
Cette étude présente les résultats d'une recherche qualitative sur l'impact de la crise et des déplacements en Syrie sur la vie des femmes et des adolescentes syriennes vivant en Jordanie, au Liban, en Turquie et en Irak, en mettant un accent particulier sur les questions de protection.
Cette étude a déterminé l'impact d'une distribution de lampes solaires portables sur la perception qu'ont les femmes et les filles de leur propre sécurité dans deux camps de personnes déplacées internes en Haïti.
Cette étude explore les perceptions des femmes sur les causes de la VPI et les réflexions des personnes interrogées sur le fait que la guerre a aussi permis aux femmes de devenir économiquement actives. Selon certains avis, cela a diminué la VPI étant donné que la pression exercée sur les hommes pour subvenir aux besoins de leur famille s'est atténuée. L'indépendance économique, ainsi que les services fournis par les ONG, ont également donné aux femmes la possibilité de quitter une relation violente.
Cette étude visait à évaluer la faisabilité et la performance d'une intervention de santé mentale adaptée pour réduire la détresse psychologique et améliorer le fonctionnement des enfants survivants de violences sexuelles et d'autres formes de traumatismes dans des contextes de réfugiés.
Cette étude vise à identifier des interventions peu coûteuses et évolutives qui améliorent de manière démontrable le fonctionnement mental, social, physique et économique des femmes ayant survécu à des violences sexuelles dans l'est de la RDC.
Cette étude a exploré l'impact des groupes d'hommes sur l'autonomisation des femmes et la violence entre partenaires intimes dans les communautés touchées par le conflit en Côte d'Ivoire.
Cette évaluation a examiné les changements durables à l'échelle de l'établissement dans les compétences du personnel, la compassion et la prestation de soins trois mois après la formation sur les soins cliniques pour les survivantes d'agressions sexuelles au Kenya, en Éthiopie, en RDC et en Jordanie.